Vois ta richesse par mon chagrin
Et donc il ne sera pas vain;
Il ne me reste qu’à boire le vin
Pour oublier de toi ma faim.
Peut-être passerais-je ma main
Sur d’autres corps et d’autres seins
Mais ce sont seulement les tiens
Dont je rêverais jusqu’à la fin.
© Frédéric Beer / Janvier 2002